Vacances dans le voyage

Mercredi 30 mai, ce sont les adieux difficiles après une courte nuit. Nous laissons, Enselle, Bob, et une grande partie nos affaires chez Vahim et Sahar, mais nous embarquons leur clef d’appartement. Normalement quand nous retournerons à Téhéran, ils seront en train de gambader à travers nos montagnes alpines. On prend le métro pour rejoindre la gare routière, et commencer à faire une partie du tour qui était prévu avec maman Dupont. A la gare une personne nous demande où on veut aller, puis nous montre le bus que l’on doit prendre et la billetterie. Le temps de prendre nos billets, de faire quelques courses nutritionnel (chips et autres), nous sommes sur la route où Chacha n’ayant pas oubliée ses habitudes de transports motorisé dort, moi profite du paysage et de l’écran individuel pour jouer à candycrush et un jeu de voiture. Arrivé à Kashan, nous rejoignons notre GH qui est très sympa, nous sommes assommés par la chaleur. Vers 18h on tente une excursion à l’extérieur, on réussit et arrivons à visiter un magnifique bazar, on grignote et dodo.

Jeudi, réveil compliqué, la tourista nous a prit à revers depuis la veille pour Chacha, on prend un petit petit déj. Regroupons nos forces pour visiter des maisons d’anciens businessman du coin. Et quelles maisons ainsi qu’un hammam, ça nous en fait oublier nos crampes d’estomacs, pas de mots pour décrire ces lieux, on en prend pleins les yeux. Retour à la GH, pour vider ce qui resterai à vider de nos intestins. On ressort le soir pour manger, à la fraicheur relative. Dodo avec crampe d’estomac.

Vendredi, nous rejoignons Esfahan avec un chauffeur perso, pour aller visiter Abyaneh et Natang. Franchement ça me fait un peu stresser de monter dans une voiture surtout avec un iranien au volant. Le trajet ce passe bien, bon il conduit bizarrement en montagne freine dans les virages, rentre à l’intérieur des virages et finit donc souvent à sur la voie d’en face. On visite le village d’Abyaneh avec ces maisons en terre rouges, ces alentours avec ces montagnes, et les femmes qui portent des foulards à fleurs colorés. Nos estomacs ne sont toujours pas en forme, ce qui nous fatiguent, on rejoint donc notre chauffeur qui nous conduit à Natanz voir la mosquée zoroastrien (et fameuse ville pour son programme nucléaire). Arrivés à Esfahan encore dans une jolie GH pour se reposer, mon estomac va mieux mais pas celui de Chacha.

Samedi, Chacha ne va pas mieux, on fait donc un tour à l’hôpital, le médecin ne touchera pas Chacha, juste contrôle de la tension, écoute du cœur à travers les vêtements, quelques questions dans un mauvais anglais, elle a une prescription contre la tourista. Mais avant que les médicaments fassent effets, il faut les acheter, pour cela on rentre dans la première pharmacie à coté de l’hôpital (où des gens en sortent avec des kits et des produits de perfusions), on se retrouve dans une salle avec 3 types de guichets différents, on en tente un ce n’est pas le bon, on va à un deuxième et c’est le bon (on avait plus qu’une chance sur deux). On retourne avec un ticket au 1er guichet, des gens nous doublent, on en redoublent donc, on met un petit bazar qui en fait rire certains, on a pas comprit que sur le ticket il y avait un nombre et que au dessus du guichet il y a une télé qui permet de voir quand le nombre est appelé, le pire c’est qu’on sait lire les chiffres persan. Donc on attend notre tour, on paye puis on attend encore notre tour pour récupérer les médicaments en ayant tout comprit ça va beaucoup plus vite. Puis nous rejoignons Naqsh-e Jahan Square, où pour que les médicaments de Chacha fonctionne encore mieux nous lui achetons une tunique légère, accompagnée d’un tapis en tissus tamponné spécialité locale. Et un marchand de tapis nous déballe tous ses tapis, et finit en râlant car on ne lui achète rien, on l’a prit au mot, il nous a invité pour le plaisir des yeux et on s’est fait plaisir. On enchaine avec le bazar, pour se balader et on finit par la place Imam qui est immensément vide. Retour à la GH avant l’orage, où l’on attend la nuit pour aller voir le pont Kajou, c’est jolie et on peu même traverser la rivière à pied à coté du pont… (c’est à sec, du à une usine en amont qui pompe toute l’eau).

Dimanche, nous retournons au bord de la rivière asséché, pour admirer les 3 ponts et rejoindre le quartier arméniens. Dans ce quartier nous pouvons visiter une cathédrale planqué entre 4 murs et des églises. La cathédrales est trop chère pour nous, on trouve une église mais trop tard elle a été détruite. On cherche donc à manger, on est dans un quartier chrétien qui fait ramadan (c’est ça l’Iran tout le monde est musulman), pas de chance. On finit par trouver des pizzas dans un concessionnaire de voiture, en leur demandant où l’on peut trouver à manger, ils se sont rendu compte qu’ils avaient faim aussi, on a donc commandé des pizzas et mangé ensemble au milieu des clients pendant que l’orage éclate. On repart en refusant les invitations des clients pour prendre le çay, manger chez eux, repetit tour vers les ponts pour traverser la rivière en diagonale, qu’es ce que ça m’amuse. Le soir avec un marcheur (pas macroniste, un vrai), qui arrive du Népal en passant par Israël, et qui va en Géorgie pour faire un trek, nous allons manger un bouani sur la place de la veille illuminé, un régal des yeux un peu moins de l’estomac. Sur cette place des caleches tournent en roue à fond les ballons et jouent du klaxonne aussi, faire attention en se balladant le nez en l’air car les chevaux ne ralentissent pas.

Lundi, réveil à 7h30 pour prendre rapidement notre petit déjeuner et foncer à la gare routière. Rater on se lève bien à 7h30, on mange et Chacha se bat avec la réceptionniste car pour payer en rial il faut que l’on paye 30euro de plus (plus d’une nuit pour 2), et que si l’on paye en euro ça ne va pas car ils n’ont pas la monnaie pour faire l’appoint, ils finissent par accepter que l’on donne 2euro en rial (à leur taux de change) pour qu’il nous rende l’appoint en euro en billet (partout c’est pareil ceux qui ont déjà pas mal d’argent essaye toujours de gratter encore plus, alors que ceux qui n’ont pratiquement rien essaye toujours d’en donner encore plus). On part chercher le bus qui nous mènera à la gare routière, et pas franchement de bon humeur, on trouve un arrêt de bus sans aucune indication, un bus s’arrête nous embarque pour nous poser quelques centaines de mètres plus loin, en nous indiquant une direction. On suit la direction, trouvons un autre arrêt de bus pas plus d’info qu’au précédent, des gens nous embrouillent les cerveaux, on part chercher un autre arrêt sous leurs conseils, puis d’autres personnes nous font tourner en rond, des chauffeurs de bus nous donnent le numéro de bus qui va à la gare routière, et nous indiquent une rue sur mapsme pour l’attendre. Mais il n’y a pas d’arrêt de bus dans cette rue, demi-tour on trouve un autre arrêt de bus avec plein de bus mais aucun pour nous, au bout de la file de bus un taxi mais pas de chauffeur. Encore demi tour, un chauffeur nous voyant tergiverser nous accompagne au bout de la rue, nous montre un arrêt de bus où attendre, on le remercie. Le temps de traverser l’avenue un bus arrive c’est le notre (heureusement que l’on sait lire les chiffres perse), on court, on saute dedans, demande confirmation, on paye nos tickets et l’on peu se reposer. Arrivé à destination, le chauffeur et un passager nous confirme que c’est bien là que l’on descend. Le passager nous accompagne jusqu’au guichet très gentiment, et la pas de chance notre bus vient de partir on doit attendre 4h pour prendre le suivant. En attendant notre départ je fait connaissance avec notre chauffeur et son équipage qui sont installer dans les soutes pour dormir et manger. L’heure de départ arrive, on rejoint notre chauffeur qui nous dit d’attendre sur le quai et s’en va avec le bus, on attend sagement puis en stressant car l’heure de départ est passé, il revient mais le bus est pratiquement plein, on a rien comprit mais on est à bord dans la bonne direction. En plus un taxi gratuit nous attends à Chiraz pour nous emmener à la GH, Chacha reprend ses habitudes et dort, moi pas d’écran perso, pas de candycrush je suis un peu déçu, mais le paysage est sympa. Arrivé, des chauffeurs de taxi nous sautent dessus on essaie de leur expliquer qu’un chauffeur nous attend pas loin, mais ils ne veulent rien comprendre, on fuit sans voir notre chauffeur, mais d’autres restent accroché à nous. On saute un muret et on est libéré des chauffeurs, ah non un autre est là et ce n’est pas le notre, on lui explique mais il ne veut rien comprendre et continue de faire la sangsue. A un guichet, on demande si ils peuvent appeler notre GH, et tout est résolu on reste au guichet le chauffeur vient nous chercher, par-contre la sangsue a eu du mal à se détacher bien que la guichetière lui ai tout expliquer en perse. A la GH un verre d’eau au concombre nous attend, le temps de remplir la paperasse, en le savourant et nous rejoignons notre dortoirs sauna pour dormir.

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Mardi, nous avons le droit à un copieux petit déjeuner, et nous apprenons que le lendemain tout est fermé donc pas de visite. On réserve pour l’après midi une excursion à Persépolis, et allons nous balader en ville voir le bazar. Nous sommes le 5 du mois et c’est fermé le 5, donc on se balade, l’office du tourisme est fermé aussi, il faut payer pour un parc, les visites sont toutes à 200000 rial (4euro). On profite de la vieille ville, nous nous perdons dans les ruelles et rentrons attendre notre chauffeur. Il conduit à grand coup d’accélérateur et de klaxonne, vivement que l’on reprenne Enselle, petit détour à Nécropolis, et enfin nous sommes à Persépolis on paye 200000rial (on comprend donc que quelque soit les visites que l’on fait c’est 200000rials). On en prend encore plein les yeux, dire que ces cailloux sculpter par la main de l’homme datent de plus de 2500ans et que des colonnes tiennent encore debout. On se balade à travers les ruines, grimpons sur les collines, et grillons au soleil. Retour à la GH, où on nous a installé dans une chambre plus fraiche pour pas beaucoup plus chère, on profite du frais avant de ce faire un petit resto pour nous remettre de nos émotions.

Mercredi, tout est fermé on reste dans la GH où je vous écrit les articles avant de pouvoir les publier. C’est l’anniversaire de la mort de l’Imam Ali, En début de soirée on part visiter le Shrine qui est ouvert tout les jours. Pour rentrer, c’est Tchador obligatoire pour les filles, et les entrées sont séparées. Chacha couverte de la tête au pied fait la queue avec les filles, et moi avec les hommes mais dès que les « videurs » (oui ils regardent si notre tenue est conforme et que l’on transporte rien de dangereux) m’aperçoivent c’est branle bas de combat. Je suis mis de coté, on revient me chercher, on ne me fouille pas, on me fait rentrer par la sortie (commune fille garçon) puis attendre à coté d’une barrière. Je ne comprend pas trop bien jusqu’à qu’une demoiselle me rejoigne pour me faire la visite, je dit bien me faire le visite car pendant ce temps Chacha a passé les checks points comme une Iranienne et aurait pu circuler dans le Shrine comme tout bon musulman. Tant pis pour elle, on a le droit à une visite surveillée, mais notre volontaire est enthousiaste pour nous expliquer les différents bâtiments et tombeaux. C’est un lieu très jolie et d’une ambiance spirituelle. Puis burger avant d’aller ce coucher.

Jeudi, réveil matinal pour aller voir la mosquée rose avec ses couleur dut aux vitraux. Malheureusement l’ouverture est trop tardive par rapport au soleil à cette époque de l’année, ça vaut quand même le coup d’œil à cette heure matinal. On retourne à la GH pour le petit déj, et patienter un peu avant d’aller visiter le bazar. Où l’on y rencontre un juif qui parle français, il nous fait visiter une ancienne école coranique, déambule avec nous dans le bazar et nous accompagne à la gare routière juste pour pratiquer son français. Nous prenons la direction de Yadz, dans un bus avec une clim qui ne fonctionne pas assis au-dessus du moteur, on transpire donc. Certains passagers iront se plaindre à l’équipage et ils se feront engueuler quand l’équipage découvre que des rideaux sont ouvert laissant pénétrer les rayon du soleil dans le bus. Mais comment leur en vouloir le paysage est magnifique nous faisant regretter de ne pas être avec Enselle. Arrivé de nuit on prend un taxi (pas le choix), mais c’est super bien organisé, à un guichet on indique notre destination et on paye le trajet puis le chauffeur désigné nous embarque et nous fait flipper tout le long du trajet, et nous ouvre même la porte de notre GH.

Vendredi, jour où tout est fermé, nous voulons acheter nos billets de trains pour Téhéran. Notre hôte nous indique une agence qui est ouvert tous les jours, et sur un plan un itinéraire nous permettant de visiter une partie de la ville pour mêler l’utile à l’agréable. En chemin on s’arrête donc visiter la mosquée du vendredi (ce qui tombe bien) on fait un petit tour dedans, et un monsieur s’est prit d’une envie soudaine de devenir notre guide (alors qu’il était posé tranquille au frais avec des amis). Il nous montre des détails que l’on avait pas remarqué, comme un escalier pas finit ce qui fait que les 2 minarets ne sont pas identiques (oui ça aurait été dur le voir, vue que l’on y a pas accès). Par contre les formes au plafonds sont 99 noms importants, les croix gammé représentant les 4 éléments, un tapis noirs pour le retour de Mahomet,… On continue notre route dans un bazar tout vide pour débouché sur un boulevard sans voiture, fermé pour une manifestation, on en profite pour marché au milieu en direction de notre agence. On l’a trouve avec l’aide de plusieurs iraniens, et avons nos billets de train en poche pour moins chère que ce qui était indiqué sur internet. Les demoiselles au guichet nous explique que l’on est le dernier vendredi du ramadan, et en ce vendredi les Iraniens et autres musulmans du monde manifestent en soutien au Palestinien, ou contre les États unis et Israël (en ces temps il est difficile de ne pas être d’accord avec eux). On se balade dans les petites rues, on croise de nombreux manifestant et des policiers, finissons par tomber sur la manifestation. On s’arrête par curiosité, faisons des photos, ils nous prennent aussi en photo (notre hôte nous dira qu’il nous a vue en photos sur telegram), c’est une manifestation comme tant d’autre sauf qu’un camion est déguisé en lanceur de missile. Vue que tout est fermé on va se faire un resto pour touriste et retour à la GH, afin de laisser passé les grosses chaleur de la journée, et ressortir se balader le soir dans la vieille ville.

Samedi, reveil tôt pour aller faire prolonger nos visas. Devant la police de l’immigration il y a déjà une belle queue quand on arrive. Nous nous mettons donc au bout de la file d’attente en plein soleil, et en même pas 1min nous nous retrouvons à l’intérieur statut de touriste oblige, on est désolé pour les afghans et pakistanais (très beau dans leur tenue, avec de sacré yeux, à peine gâché par leurs coupes de cheveux playmobile). A l’intérieur un monsieur est là rien que pour nous, heureusement car les guichets sont pris d’assaut, il vérifie nos papiers, nous indique la banque où il faut payer. On fait l’aller retour, on retrouve notre monsieur qui nous dit de revenir en début d’après midi car il y a du monde, c’est la fin des vacances, il nous demande ce que l’on va faire, et en fait on ne sait pas ce que l’on va faire pour attendre car on n’a pas envie de repayer un taxi. Il sent notre hésitation et nous demande si dans une heure c’est bon, pour nous c’est parfait, on s’installe au milieu des immigrés, petit jeu sur notre cahier Vers 11H on s’approche des guichets pour montré que l’on est encore là, un monsieur nous aperçoit ressort notre dossier, finit de le remplir et c’est finit on peu rester 30 jours de plus en Iran. On rentre en ville pour visiter le musé de l’eau, dans la région à 1000m d’altitude il pleut 4cm d’eau par an, elle est situé au pied de montagne pointant à 4000m d’altitude où il pleut un peu plus. Les gens on donc construit des tunnel pour conduire l’eau des montagnes aux villes, il y a donc de grande canalisation passant sous les maisons. Les maisons sont construites avec des tours du vents, ces tours captent les vents voir la moindre brise, le fait descendre dans le canal sous terrain ce qui rafraichit l’air au contact de l’eau pour la maison et évite les problèmes de moisissure dans les tunnels. On finit notre après midi au frais à l’air conditionné pas de tour du vent dans notre GH, puis allons voir le couché du soleil dans le désert avec 2 chinois travaillant à Téhéran, on en profite bien car nous sommes que tout les 4, mais une fois le soleil coucher les moustiques nous sautent dessus nous sommes les seuls ciblent à coté de l’oasis.

Dimanche, on va faire nos photocopies couleurs et ma raser pour les visas Turkmène. Chez notre barbier on apprendra qu’il est interdit de raser avec une lame, juste avec une tondeuse, bien qu’à Téhéran j’ai été rasé avec une lame. Une fois cela fait on rejoint le temple du feu zoroastrien, avec un petit musé très intéréssant. On enchaine avec un parc à l’autre de bout de la ville, toujours à pied pour profiter au maximum de la chaleur. Ce parc est le jardin Dowlat Abad, avec une fontaine en forme d’allée protégée par des arbres pour éviter l’évaporation, Chacha en profite pour se rafraichir les pieds. On retourne à l’hotel dans une ville encore plus vide que d’habitude, on n’a pas mal trainé tout le monde fait la sieste et tout est fermé. Le soir nous allons profiter de la beauté de cette ville en allant mangé sur un toit terrasse avant de prendre notre train couchette qui à une heure de retard.

7 réflexions sur “Vacances dans le voyage

  1. vexlard 4 juillet 2018 / 5 h 45 min

    au top du top . On se régale à vous lire . Belle aventure . Bises . Les Vex

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  2. MARTINEZ Gisele 4 juillet 2018 / 7 h 58 min

    c’est vraiment trés beau, mais que de péripéties pendant ce voyage…..bravo à vous deux pour ces récits et photos(magnifiques), merciiiiii….mamie et moi même (maman) vous embrassons de tout notre coeur, on vous aime

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  3. Thérèse 4 juillet 2018 / 8 h 57 min

    Des motifs géométriques , des ruines , des symétries dans l’eau…tout ce que j’aime…dommage! Bisous à vous deux

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  4. Margaux 4 juillet 2018 / 17 h 01 min

    Coucou les copains! Bon je suis contente d’être assidue et de suivre tout votre voyage mais les articles rallongent au fur et à mesure j’ai l’impression ^^
    Gros bisous

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    • damscha 6 juillet 2018 / 7 h 45 min

      C’est pas faux… internet pourri oblige on rallonge 😆

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  5. Sylvie Lambert 4 juillet 2018 / 17 h 15 min

    Magnifique pays
    super récit
    Très belles photos

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  6. Fabienne Prieur 9 juillet 2018 / 21 h 54 min

    J’adore ! Très beau pays, j’espère un jour le visiter.

    Êtes vous guéri de la Tourista ?
    Prenez soin de vous et de vos estomacs…
    Bises

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